Principes

L’étendue du choix et de la volonté de l’homme

Afin de connaître les conditions, les limites, et le domaine du choix de l’homme, de constater les effets de ce pouvoir en lui, et de découvrir quels sont les facteurs qui influencent sa façon de penser, nous devons prendre en considération les points suivants:

1. La nature innée de l’homme et sa disposition

L’homme a beaucoup de motivations et d’instincts qui l’attirent. Certains de ces instincts dérivent d’une source matérielle, certains autres, de l’Esprit Divin.

Vous pouvez appeler ces instincts: propension, disposition, besoin naturel, tendance ou inclination. Ci-après quelques-uns des plus importants de ces instincts:

– Le besoin de nourriture, de vêtement et d’abri

– L’instinct d’auto-défense

– Le désir sexuel

– Le sens esthétique

– L’instinct d’accession à une position et au respect

– L’instinct de la recherche et de l’amour de la Vérité

– L’amour de la connaissance

– L’amour de la justice

– La sympathie

– L’amour de la perfection et le désir de la recherche

De tels instincts et besoins sont entremêlés avec la nature innée de l’homme(1) et, de là, ils ne sont ni passagers ni acquis. Ces instincts provoquent seulement une sorte de pulsion et d’attraction. Ils travaillent comme force motrice, mais ils ne liens pas les mains de l’homme. L’homme a le pouvoir de les suivre ou de ne pas les suivre. Il est en son pouvoir de satisfaire ses désirs instinctifs aussi bien que de les refréner, de les contrôler, de les orienter, ou de changer leur objet.

Ces instincts sont réellement contrôlés par la volonté de l’homme, qui est fondée sur sa façon de penser.

2. La modification des propensions

La modification des propensions et des instincts est fondamentale, mais elle est très difficile et requiert beaucoup d’efforts, une grande conscience, et un travail acharné.

On peut facilement comprendre que chacun des instincts mentionnés précédemment est en lui-même un besoin de la vie.

S’il n’y avait pas de pulsion sexuelle il n’y aurait pas de motivation pour la procréation et pour la formation de familles.

S’il n’y avait pas désir de nourriture, l’homme ne prendrait pas de mesures pour satisfaire ses besoins nutritionnels et en conséquence, il périrait.

Si l’homme ne souhaitait pas accéder aux honneurs et à la position sociale, il sombrerait dans la disgrâce et l’humiliation.

Le désir d’acquérir une position sociale et d’être respectable peut pousser l’homme à faire des efforts fructueux dans une action sociale. Mais si ce même désir devient excessif, il peut avoir raison de toutes les autres motivations et tourner en soif de pouvoir et course aux honneurs. Auquel cas, l’homme commence à adorer cette idole qu’est le pouvoir, et devient un tyran. Il peut aller aussi loin que possible et recourir à tous les moyens, y compris, l’argent, la flatterie, et toute action méprisable. Dans certains cas, on peut même supporter la faim et toutes autres épreuves pour aboutir à ses fins égoïstes.

Même après avoir obtenu le pouvoir, une telle personne peut, pour le conserver et l’étendre, commettre n’importe quel crime et recourir au mensonge, à l’intimidation et à l’assassinat(2). En d’autres termes, il peut piétiner les hautes valeurs de justice, de réalisme et de bienveillance. (3)

Nous remarquons comment un instinct peut dominer un homme, s’il n’est pas convenablement contrôlé et si on lui permet de dépasser des limites appropriées; mais nous ne devons pas oublier que dans ce cas l’instinct devient une idole que l’homme crée pour lui-même(4) par une mauvaise utilisation de sa faculté de choisir, et que c’est lui-même qui peut briser cette idole et cultiver ses tendances sublimes. Il peut contrôler et réformer les instincts qui dépassent les limites convenables afin d’éviter de s’adonner au péché. «Quant à celui qui se sera repenti, qui aura cru et qui aura été droit, peut-être sera-t-il prospère». (Sourate al-Qaçaç, 28: 67). «Mais celui qui aura craint la position de son Seigneur et freiné ses bas désirs, aura sûrement le Paradis pour demeure». (Sourate al-Nâzi’ât, 79: 4-41). «Ceux qui sont sauvés de leur propre avidité, seront sûrement prospères». (Sourate al-Hachr, 59: 9)

Il y a beaucoup de versets qui réprouvent les tendances déséquilibrées chez l’homme et déclarent que celui-ci doit les corriger en faisant des efforts en vue de cultiver les tendances positives.

Le Coran considère l’homme comme étant toujours tenu de déployer ses efforts pour se réformer et d’orienter ses tendances de sorte qu’aucune d’elles ne puisse excéder ses limites, ni diminuer la vigueur de la nature humaine.

3. Le rôle de l’environnement naturel et géographique

Il n’est pas possible que l’environnement naturel et géographique d’un homme soit sans effet sur sa vie spirituelle et émotive. Tout comme les traits de caractère ont la puissance musculaire, la force morale des hommes ne peut pas être la même. De la même façon, la spiritualité d’un homme qui a grandi dans la chaleur torride d’un désert au milieu des dunes, ne saurait être pareille à celle d’un autre homme qui vit dans une région littorale, au climat humide et aux forêts denses. Il n’y a pas de doute que le climat chaud, l’eau salée ou la région montagneuse ne peuvent pas avoir les mêmes effets sur les tendances de l’homme que le climat froid, l’eau douce ou une terre marécageuse, par exemple. Donc, de même que le physique des gens de toutes les régions ne peut être le même, de même leurs tendances ne sauraient être les mêmes.

Toutefois, ces conditions naturelles et physiques ne peuvent aller jusqu’à contraindre l’homme à s’engager dans une direction particulière, bien qu’elles poissent contribuer, dans une certaine mesure, à la création d’une atmosphère tendant à inciter l’homme à adopter un certain mode de vie. Aucune région ne peut contraindre l’homme à maintenir ou à perdre sa respectabilité, à défendre sa liberté ou à succomber à la tentation, à être vertueux ou malfaisant, laxiste ou industrieux.

C’est l’homme lui-même qui, en dépit de toutes les difficultés et conditions défavorables, peut trouver sa voie et utiliser sa force de volonté pour consolider sa spiritualité constructive.

4. Le rôle des facteurs historiques sociaux et économiques

Les facteurs historiques, l’atmosphère sociale, les relations économiques, l’atmosphère sociale, les relations économiques et les conditions sociales jouent aussi un rôle fondamental dans l’orientation des tendances de l’homme, de ses motivations, de sa vision et de son mode de vie. Parfois, ils dressent des barrières sur la voie de la liberté de l’homme et devant son pouvoir de choisir.

Mais nous ne devons pas oublier que les cites conditions ont été provoquées graduellement par certains individus, et que d’autres individus peuvent combattre les mauvais facteurs existants, sous la bannière de la liberté et de la connaissance, et parvenir par la force de leur maturité intellectuelle et, par l’utilisation de ce qui reste de leur volonté et de leur pouvoir de décision, lutter contre la corruption. Ce sujet sera discuté plus en détails lorsque nous traiterons de la vision islamique de l’histoire.

5. Le rôle des règles et des réglementations dans le domaine du choix

Nous venons de voir que l’homme a certains instincts et tendances qui doivent être orientés et modifiés. Et comme les facteurs naturels et les conditions de l’environnement affectent son choix et son mode de vie, il doit agir en vue d’améliorer son milieu ambiant. Les principes et les règles sur la base desquels doivent s’opérer, cette amélioration et cette modification, constituent l’un des plus importants thèmes ayant trait aux choix de l’homme et à sa volonté.

Comment doit-il façonner sa vie, et vers quelle direction doit-il se tourner? Que doit-il choisir, et sur quelle base? Doit-il permettre aux autres de lui imposer certains principes pour « choisir » par la suite, de son propre chef, ces mêmes principes et s’engager dans la voie vers laquelle on l’a guidé sans qu’il s’en rende compte, comme c’est le cas normalement dans la démocratie moderne?

Ou bien, doit-il s’impliquer dans un conflit idéologique, sur la base de la théorie de la contrainte matérielle et de la dialectique historique (comme l’affirment certaines écoles de pensée), et renforcer ainsi le mouvement et le développement de l’histoire en provoquant davantage de contradictions dans ce processus?

Ou bien encore, l’homme doit-il, en théorie, se libérer de tous principes déjà énoncés et se défaire de ses propres idéaux préconçus, pour faire, par la suite, son choix avec une liberté totale et créer ses propres principes et règles, étant supposé qu’il n’existe d’autre principe que celui qu’on choisit soi-même?

Ou bien y a-t-il une tout autre issue? Et si oui, laquelle?

Du point de vue islamique, l’homme a été créé libre de telles contraintes, et aucun principe préconçu ne peut lui être imposé pour le priver de sa libre volonté et de son pouvoir de choisir.

L’homme doit choisir lui-même les règles et les principes pour se former correctement et servir sa société à la lumière de ses connaissances étendues. L’insistance avec laquelle le Coran met l’accent sur la pensée, la compréhension et le bon sens, ainsi que sur la pensée libre de toutes les fantaisies, de tous les mythes et de toutes les notions incorrectes qui prévalent dans l’environnement ou qui sont hérités des ancêtres, a pour but de tracer la voie à la recherche de la Vérité.

6. La Révélation divine

La Révélation divine est l’une des plus importantes sources de la connaissance, et l’un des plus importants domaines de la pensée.

Le monde n’est ni noir, ni vice. En plus des facultés intérieures dont Allah a gratifié l’homme pour l’aider à trouver la Vérité, IL a envoyé des prophètes pour le guider vers le Droit Chemin. La guidance ne signifie ni la soumission forcée à la Volonté d’Allah, ni la suppression de la volonté créative, mais constitue plutôt une forme d’exhortation et une aide divine. Elle montre la Bonté et la Grâce d’Allah. La guidance est une lumière qui s’ajoute à la perspicacité de l’homme, et elle ne restreint pas sa libre volonté.

L’homme doit tirer avantage de cette guidance avec des yeux grands ouverts et, pour cela, il doit utiliser sa connaissance et sa perspicacité. Il doit tout d’abord penser et apprécier, et choisir ensuite. Si, même après l’identification de la Vérité, il persiste dans son incroyance, il sera déclaré coupable.

Il y a beaucoup de preuves dans le Coran qui corroborent ces points. Nous avons déjà cité quelques versets en ce sens.

7. Ce sont les propres actes d’un homme qui font sa destinée

Une autre question qui donne une direction à la volonté et aux choix de l’homme est l’attention qu’il accorde au fait que ses actes font sa destinée, et que chacune de ses actions suscitera, tôt ou tard, une réaction. Le futur de l’homme dépend vraiment de ses propres actes.

Le Coran dit à cet égard:

«L’homme n’aura que le résultat de ses efforts». (Sourate al-Najm, 53: 39)

«La corruption est apparue sur la Terre et sur la mer par suite des mauvaises actions des gens». (Sourate al-Roum, 30: 41)

C’est la résistance des gens qui prévient la corruption:

«Si Allah n’avait pas repoussé les gens les uns par les autres, la Terre aurait été corrompue». (Sourate al-Baqarah, 2: 251)

Le Paradis et l’Enfer sont le résultat et le reflet des actes des gens: «Tel est le Paradis qui vous sera donné en héritage, en contrepartie de vos bonnes actions» (Sourate al-Zukhruf, 43: 72). «Ceux qui ont commis un péché, et qui sont enveloppés par leur transgression, se sont consignés dans le Feu où ils demeureront éternellement». (Sourate al-Baqarah, 2: 81)

En réalité, les actes des gens sont enregistrés exactement et soigneusement: «Ceux-là auront une partie de ce qu’ils se sont acquis. Allah est prompt dans Ses calculs». (Sourate al-Baqarah, 2: 202)

Etant donné que dans ce monde toute chose est bien planifiée et bien dirigée, et que rien n’y est futile ni fortuit, tous les actes humains ont un rôle et un effet constructif.

Ce point de vue indique clairement que l’homme doit être très attentif en faisant un choix. Il ne lui est pas permis d’entreprendre quoi que ce soit fortuitement et avec négligence.

Il est essentiel aussi qu’il choisisse seulement ce qui est bien. Il ne faut pas qu’il prenne une décision à la légère. C’est la raison pour laquelle il est anxieux et craintif. Peut-être est-ce cette peur d’Allah qui le conduit à pratiquer la piété. (5)

8. Le but des efforts de l’homme

Maintenant, voyons ce que doit être le but des efforts de l’homme. Nous savons que l’Islam propose certains objectifs et principes, et appelle l’homme à les adopter. C’est, en soi, une bénédiction d’Allah. Mais c’est l’homme lui-même qui doit choisir sa voie d’une manière réfléchie.

La prospérité et le salut

Selon le Coran, l’un des buts des efforts de l’homme consiste à obtenir le « falâh« , qui signifie le salut et la prospérité.

« Falâh », signifie « cultivateur », celui qui fend la terre et la prépare à la culture, lui confère toutes les conditions nécessaires à la croissance et au développement des graines qui, dans les conditions favorables du sol et de l’eau, germeront et croîtront en hauteur et en volume avec l’aide des forces naturelles.

D’une façon similaire, si l’homme s’assure les conditions conduisant à sa croissance humaine spirituelle et à la perfection dans chaque domaine et dans toutes les dimensions de sa nature, il se libérera des entraves de son égoïsme et de ses bas désirs. Il sera capable de tirer grand avantage de ses talents et potentialités, et ses instincts sublimes s’enracineront solidement. On dit d’un tel homme qu’il a obtenu le falâh et qu’il a prospéré. Le Coran déclare que cette prospérité résulte de l’auto-formation(6), de la modification des besoins naturels(7), des bonnes actions(8), des efforts positifs et constructifs(9), de la résistance au mal, de la coopération en vue du bien et de la piété(10), de l’amélioration de l’environnement, de la propagation de la vertu, de la prévention de la corruption(11) et ainsi de suite.

9. Les idéaux et les valeurs

Dans un bond évolutif, l’homme commence à cultiver un idéal pour lequel il s’oublie lui-même et concentre son attention sur la foi et sur les services à rendre à l’humanité. Un stade arrive où, pour la réalisation de son idéal, il abandonne non seulement ses plaisirs, son confort, sa position et sa fortune, mais il sacrifie même sa vie.

Un scientifique qui déploie des efforts sincères en vue d’une découverte, ne le fait ni pour servir un tyran, ni pour devenir célèbre, ni pour obtenir une récompense, mais pour enrichir la connaissance et servir l’humanité.

Un travailleur social sincère fait des efforts en vue de soulager le malade, aider une personne affligée ou qui a faim, et défendre l’opprimé, et non par une récompense quelconque, ni pour se faire de la publicité, et il ne le fait pas d’une façon formelle ou professionnelle, mais pour l’amour de l’humanité et pour rendre service.

Un travailleur idéologique rencontre toutes sortes de difficultés et de dangers et rend des services pour la délivrance d’une nation. Quel nom donnerez-vous à un tel homme et comment interprétez-vous sont travail pour un idéal?

Il n’y a pas de mal à le qualifier d’idéaliste car ce pour quoi il se débat n’existe pas déjà comme une réalité, ni dans la nature, ni dans la société. Il le perçoit seulement comme un idéal dans son esprit et en fait une partie de sa vie. Cet idéal devient une force conductrice qui le pousse à continuer ses efforts jusqu’à ce que, ce qui n’était qu’une simple idée, se réalise et devienne un fait historique.

Chaque école idéologique doit avoir un idéal qui, sans être déjà existent comme une réalité, exige des sacrifices pour se réaliser. C’est quelque chose qu’aucune théorie d’inspiration matérialiste ne peut expliquer. Il ne peut être ni jugé d’après un critère scientifique, ni interprété par aucune loi matérielle ou naturelle.

Ces mêmes idéaux sont les hautes valeurs auxquelles on doit se consacrer et pour lesquelles on doit se sacrifier. Si vous voulez trouver une personne qui possède vraiment des qualités « humaines », vous devez chercher quelqu’un qui se voue à ces idéaux et valeurs qui dépassent la portée des lois physiologiques et biologiques.

10. La recherche d’Allah et de la Vérité

L’Islam affirme que ces valeurs, sous leur forme la plus sublime, sont concentrées en Allah, et que l’homme de l’Islam est féru de cette perfection absolue. Il brûle d’envie de s’acheminer vers elle et de l’atteindre. Un homme ayant une foi parfaite se meut réellement vers ce but. Cette perfection absolue est une pure réalité et l’essence de l’existence qui a créé les valeurs et la force. Cette vérité ne peut être perçue par une pensée matérielle, laquelle est incapable d’aller au-delà de la matière et de l’énergie et de penser à la réalité et à la valeur, ou à la source de la force et du mouvement.

En ce qui concerne l’homme, c’est lui-même qui prend l’initiative de son mouvement vers la perfection, bien que ce soit Allah qui l’appelle et l’attire vers elle, mais pas au point de la lui imposer ou de l’y contraindre, autrement, son initiative serait sans valeur. Il lui appartient personnellement d’effectuer le voyage avec des efforts inlassables pour arriver à son but. Quelle promesse encourageante! «O l’homme! Tu fais des efforts pour t’approcher de ton Seigneur, et tu seras récompensé (de tes actes)». (Sourate al-Inchiqâq, 84: 6)

Notes :

1- «Suis les commandements de la (vraie) nature humaine, telle qu’elle a été créée par Allah». (Sourate al-Roum, 30: 30)

– «L’homme a été créé sans repos». (Sourate al-Ma’ârij, 70: 19)

– «L’amour des joies que procurent les femmes, les enfants, les lourds amoncellements d’or et d’argent, les chevaux racés, le bétail et les plantations, est enjolivé aux gens». (Sourate Ale ‘Imrân, 3: 14)

– «Il est passionné dans son amour des richesses». (Sourate al-‘Adiyât, 100: 8)

2-«L’homme se rebelle, dès qu’il se considère comme étant indépendant et auto-suffisant». (Sourate al-‘Alaq, 96: 6-7)

3-«Juge les hommes selon la justice et ne suds pas tes propres caprices qui te feraient dévier du Chemin d’Allah». (Sourate Çâd, 38: 26)

4-«Si Nous lui faisons goûter un bienfait, après que le malheur l’a touché, il dit: « Les maux se sont éloignés de moi » et il devient fier et insolent; sauf ceux qui sont fermes et qui font des oeuvres bonnes». (Sourate Houd, 11: 10-11)

5-«Voilà la punition dont Allah menace Ses serviteurs. Mes serviteurs! Craignez-Moi donc!» (Sourate al-Zumar, 39: 16)

6-«Prospère est celui qui se purifie». (Sourate al-Ghâchiyah, 87: 14)

7-«Ceux qui se gardent de leur propre avidité seront prospères». (Sourate al-Hachr, 59: 9)

8-«Adorez Allah et faites le bien afin que vous soyez prospères». (Sourate al-Hajj, 22: 77)

9- «Prospères sont les croyants qui sont humbles dans leurs prières, qui évitent ce qui est absurde…». (Sourate al-Mo’minoun, 23: 1-11)

10-«O les croyants! Soyez patients! Encouragez-vous mutuellement à la patience! Etablissez de bonnes relations entre vous et craignez Allah, afin que vous puissiez être prospères». (Sourate Ale ‘Imrân, 3: 200)

11-«… Ils appellent à la vertu, exhortent à ce qui est bien et interdisent ce qui est mal. Voilà ceux qui seront prospères». (Sourate Âle ‘Imrân, 3: 104)

Source : http://fr.al-shia.org/

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